Le Magazine de l\\\\\\\'Afrique: La tragédie de Mina - French
Le Magazine de l\\\\\\\'Afrique: La
Jeudi matin, une bousculade à Mina a provoqué une tragédie à la Mecque. Le bilan des pèlerins morts dans cette tragédie dépassé 2000 personnes. Des...
Le Magazine de l\\\\\\\'Afrique: La
Jeudi matin, une bousculade à Mina a provoqué une tragédie à la Mecque. Le bilan des pèlerins morts dans cette tragédie dépassé 2000 personnes. Des centaines de pèlerins sont, toujours et encore portés disparus. Les pèlerins iraniens, nigérians, marocains et égyptiens ont été les principales victimes de ce drame. Sur les rapports officiels, 87 marocains, 20 camerounais, 19 nigériens, 14 égyptiens, 8 somaliens, 5 sénégalais, 3 kényans, comptent parmi les pèlerins morts dans cette bousculade, sans pourtant oublier des centaines de pèlerins africains ont été portés disparus., ce alors que le régime saoudien a interdit aux pèlerins blessés dans cette bousculade de prendre contact avec leur famille. Le gouvernement nigérian dont un grand nombre de pèlerons ont trouvé la mort à Mina a décrété trois jours de deuil.
Des dizaines de pèlerins iraniens aussi ont été tués, à Mina. L’Iran aussi a décrété trois jours de deuil. \\\\\\\"Les dirigeants saoudiens devront s’excuser auprès de l’Oumma islamique et les familles endeuillées des pèlerins victimes du drame de Mina, au lieu d\\\\\\\'imputer à autrui la responsabilité qui leur revient dans l’incident tragique à Mina.\\\\\\\", a réitéré le Guide suprême de la Révolution islamique. L’honorable Ayatollah Khamenei a souligné dimanche matin, devant les étudiants en théologie: « Le monde de l’Islam a beaucoup de questions à poser sur l’incident de Mina. » En allusion à la tragédie de Mina qui a endeuillé l\\\\\\\'Oumma islamique au jour de l\\\\\\\'Aïd Al-Adha, cette grande fête des musulmans, le Guide suprême de la Révolution islamique a souligné : « Il est impossible à tout un chacun d\\\\\\\'oublier même pour un seul instant cette grande peine, qui pèse de tout son poids sur notre coeur et celui de tous les musulmans. » Le Guide suprême de la Révolution islamique a fait remarquer que c\\\\\\\'est injuste, un geste avorté et inefficace de la part des dirigeants saoudiens de se dérober de leur responsabilité envers cette tragédie et de l\\\\\\\'imputer aux autres.
Narration 2 :
Après la tragédie de Mina, qui s’est soldée par la mort de milliers de pèlerins, tandis qu\\\\\\\'un grand nombre d\\\\\\\'entre eux étaient blessés, le gouvernement saoudien a formulé des accusations sans fondement. En premier lieu, il a accusé les pèlerins africains, et, ensuite, les pèlerins iraniens, d’être à l’origine de cet incident. Et ce, alors que les vidéos et les témoignages des témoins oculaires mettent en évidence le fait que cette tragédie découle du laxisme et de la mauvaise gestion des cérémonies du Hadj par les Al-e Saoud. Les vidéos diffusées sur le drame, qui s’est produit, à Mina, montrent que le dispositif de sécurité saoudien défaillant est à l’origine de ce triste évènement.
Ils ont mis sur le compte du destin, la mort de plus de 2.000 pèlerins, à Mina, et cherché à imputer aux pèlerins, la responsabilité de cette catastrophe humaine, à Mina. Même après ce drame, les autorités saoudiennes ne se sont pas montrées responsables envers les morts et les blessés. Quelques jours après cet incident, des centaines de personnes sont, toujours, portées disparues. La plupart des victimes sont originaires du Nigeria, de l’Iran, du Maroc et de l’Egypte.
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Description:
Le Magazine de l\\\\\\\'Afrique: La
Jeudi matin, une bousculade à Mina a provoqué une tragédie à la Mecque. Le bilan des pèlerins morts dans cette tragédie dépassé 2000 personnes. Des centaines de pèlerins sont, toujours et encore portés disparus. Les pèlerins iraniens, nigérians, marocains et égyptiens ont été les principales victimes de ce drame. Sur les rapports officiels, 87 marocains, 20 camerounais, 19 nigériens, 14 égyptiens, 8 somaliens, 5 sénégalais, 3 kényans, comptent parmi les pèlerins morts dans cette bousculade, sans pourtant oublier des centaines de pèlerins africains ont été portés disparus., ce alors que le régime saoudien a interdit aux pèlerins blessés dans cette bousculade de prendre contact avec leur famille. Le gouvernement nigérian dont un grand nombre de pèlerons ont trouvé la mort à Mina a décrété trois jours de deuil.
Des dizaines de pèlerins iraniens aussi ont été tués, à Mina. L’Iran aussi a décrété trois jours de deuil. \\\\\\\"Les dirigeants saoudiens devront s’excuser auprès de l’Oumma islamique et les familles endeuillées des pèlerins victimes du drame de Mina, au lieu d\\\\\\\'imputer à autrui la responsabilité qui leur revient dans l’incident tragique à Mina.\\\\\\\", a réitéré le Guide suprême de la Révolution islamique. L’honorable Ayatollah Khamenei a souligné dimanche matin, devant les étudiants en théologie: « Le monde de l’Islam a beaucoup de questions à poser sur l’incident de Mina. » En allusion à la tragédie de Mina qui a endeuillé l\\\\\\\'Oumma islamique au jour de l\\\\\\\'Aïd Al-Adha, cette grande fête des musulmans, le Guide suprême de la Révolution islamique a souligné : « Il est impossible à tout un chacun d\\\\\\\'oublier même pour un seul instant cette grande peine, qui pèse de tout son poids sur notre coeur et celui de tous les musulmans. » Le Guide suprême de la Révolution islamique a fait remarquer que c\\\\\\\'est injuste, un geste avorté et inefficace de la part des dirigeants saoudiens de se dérober de leur responsabilité envers cette tragédie et de l\\\\\\\'imputer aux autres.
Narration 2 :
Après la tragédie de Mina, qui s’est soldée par la mort de milliers de pèlerins, tandis qu\\\\\\\'un grand nombre d\\\\\\\'entre eux étaient blessés, le gouvernement saoudien a formulé des accusations sans fondement. En premier lieu, il a accusé les pèlerins africains, et, ensuite, les pèlerins iraniens, d’être à l’origine de cet incident. Et ce, alors que les vidéos et les témoignages des témoins oculaires mettent en évidence le fait que cette tragédie découle du laxisme et de la mauvaise gestion des cérémonies du Hadj par les Al-e Saoud. Les vidéos diffusées sur le drame, qui s’est produit, à Mina, montrent que le dispositif de sécurité saoudien défaillant est à l’origine de ce triste évènement.
Ils ont mis sur le compte du destin, la mort de plus de 2.000 pèlerins, à Mina, et cherché à imputer aux pèlerins, la responsabilité de cette catastrophe humaine, à Mina. Même après ce drame, les autorités saoudiennes ne se sont pas montrées responsables envers les morts et les blessés. Quelques jours après cet incident, des centaines de personnes sont, toujours, portées disparues. La plupart des victimes sont originaires du Nigeria, de l’Iran, du Maroc et de l’Egypte.
Die Tötung von Imam Hussein - Sayed Mohammad Baqir Hakim - Arabic Sub German
Die Unwissenden und Streitstifter zeigen meistens einen kleinen Auschnitt dieses Videos um damit Propaganda gegen die Shia zu betreiben. Wer allerdings das gesamte Video anschaut wird die Reaktion...
Die Unwissenden und Streitstifter zeigen meistens einen kleinen Auschnitt dieses Videos um damit Propaganda gegen die Shia zu betreiben. Wer allerdings das gesamte Video anschaut wird die Reaktion von Sayed Mohammad Hakim nachvollziehen können und möglicherweise für Untertrieben halten. In diesen Video hören wir die schreckliche Tragödie die Imam Hussein der Enkelsohn des Propheten s.a.w.s durchmachen müsste rezitiert vom größen Märtyrer Ayatollah Mohmmad Baqir Hakim q.s.
Die Qualität ist zwar nicht die hochwertigste allerdings bin ich der Meinung das Sayed Hakim solch eine reine Liebe zu Ahlulbayt pflegte, dass seine Rezitazion großen einfluss bei den Wahrhaftigen haben wird. Das was vom reinem Herzen kommt geht auch in die Herzen
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Description:
Die Unwissenden und Streitstifter zeigen meistens einen kleinen Auschnitt dieses Videos um damit Propaganda gegen die Shia zu betreiben. Wer allerdings das gesamte Video anschaut wird die Reaktion von Sayed Mohammad Hakim nachvollziehen können und möglicherweise für Untertrieben halten. In diesen Video hören wir die schreckliche Tragödie die Imam Hussein der Enkelsohn des Propheten s.a.w.s durchmachen müsste rezitiert vom größen Märtyrer Ayatollah Mohmmad Baqir Hakim q.s.
Die Qualität ist zwar nicht die hochwertigste allerdings bin ich der Meinung das Sayed Hakim solch eine reine Liebe zu Ahlulbayt pflegte, dass seine Rezitazion großen einfluss bei den Wahrhaftigen haben wird. Das was vom reinem Herzen kommt geht auch in die Herzen
Rede von Zaynab bint Ali (a) an Yazeed ibn Muawiyya (l) - Arabic Sub German
Zaynab (a.) (bzw. Zainab) war die Tochter von Imam Ali (a.) und Fatima (a.) und die Schwester von Imam Hasan (a.) und Imam Husain (a.). Sie war die...
Zaynab (a.) (bzw. Zainab) war die Tochter von Imam Ali (a.) und Fatima (a.) und die Schwester von Imam Hasan (a.) und Imam Husain (a.). Sie war die bedeutsame Heldin von Aschura.
Die Angaben über ihr Geburtsdatum schwanken, aber am häufigsten wird der 5. Dschumada al-Ula 6 n.d.H. (zuweilen 1. Schawwal) genannt. Ihr Geburtstag wird in der Islamischen Republik Iran als Tag der Krankenschwester begangen.
Zur Bedeutung des Namens \"Zaynab\" siehe Name Zaynab.
Der Grundstein ihrer Erziehung wurde vom Propheten Muhammad (s.) selbst und von ihrer Mutter Fatima (a.) gelegt. Auch ihr Vater Imam Ali (a.) hat später besondere Sorgfalt bei ihrer Erziehung aufgewendet, so dass sie zur Zeit seines Kalifats in Medina und Kufa wie auch lange über sein Ableben hinaus als bekannte Lehrerin wirkte, die nicht nur in der Auslegung des Heiligen Qur\'an und der Überlieferungen versiert war, sondern auch in Rechtsfragen als Autorität anerkannt wurde; in diesem Zusammenhang wurde sie auch als \"Stellvertreterin des Imam\" bezeichnet.
Besonders eng verbunden fühlte sich Zaynab (a.) nach dem Ableben ihres Bruders Imam Hasan (a.) mit ihrem Imam Husain (a.). Nach Rücksprache mit ihrem Ehemann Abdullah ibn Dschafar verließ sie ihre Familie und begleitete Imam Husain (a.) auf der Reise, die mit der Tragödie von Kerbela enden sollte. Sie musste erleben, wie Imam Husain (a.) und seine Begleiter von den Truppen des Kalifen der Umayyaden namens Yazid ibn Muawiya, vom Trinkwasser abgeschnitten und schließlich überfallen wurden, wobei die Angreifer am Tag von Aschura besonders brutal vorgingen. Imam Husains (a.) älterer Sohn Imam Zain-ul-Abidien (a.) überlebte das Gemetzel, weil er zu dieser Zeit krank war. Zaynab (a.) selbst verlor ihren Sohn Aun und Muhammad, den Sohn ihres Mannes. Sie hatte drei weitere Kinder: Ali, Umm Kulthum und Abbas.
Zaynab (a.) und die anderen Überlebenden wurden als Gefangene zunächst dem Gouverneur von Kufa Ibn Ziad vorgeführt. Dort hielt sie eine bis heute überlieferte Rede, in der sie ihm sein Verhalten vorwarf, und sie rettete durch ihre Intervention Imam Zain-ul-Abidien (a.) das Leben (siehe Rede Zaynabs (a.) in Kufa). Die Gefangenen wurden schließlich unter menschenunwürdigen Bedingungen nach Damaskus gebracht, wo Imam Husains (a.) Tochter Sukaina entkräftet im Gefängnis in den Armen ihrer Tante Zaynab (a.) starb. Noch einmal gelang Zaynab die Intervention, als Yazid den Kopf von Imam Zain-ul-Abidien (a.) forderte. In einer weiteren Rede vor dem Herrscher selbst stellte sie den wahren Sachverhalt dar und hielt ihm sein Unrecht vor, so dass Yazid schließlich durch den Druck der öffentlichen Meinung gezwungen war, die Gefangenen freizulassen und ihnen die Rückkehr nach Medina zu ermöglichen. Die Rede Zaynabs (a.) soll unmittelbar hinter der heutigen der Kanzel [minbar], an der Stelle, an der heute die Umayyaden-Moschee steht, erfolgt sein, wo zu ihren ehren Trauergesänge veranstaltet werden (siehe Bild).
Zaynab durfte unter dem Schutz von Numan ibn Baschir zurück nach Medina reisen, der ihr während der Reise allen Respekt gewährte. Es heißt, dass ein Umweg über Kerbela gewählt wurde, wo Imam Zain-ul-Abidin (a.) den Kopf Imam Husains (a.) mit zum Körper bestattete. Danach verliert sich die Spur Zaynabs in der Geschichte, so dass es drei Versionen für die verbleibende Lebenszeit von über einem Jahr gibt:
In der ersten Version verbleibt sie in Medina und stirbt auch dort, wobei unklar bleibt, wie ihr Leichnam dann nach Damaskus kam. In der zweiten Version ist Zaynab in Kairo begraben. Denn demnach wird sie vom Gouverneur von Medina unmittelbar nach ihrer Ankunft verbannt und vom Gouverneur von Ägypten Muslim ibn Machlid al-Ansari nach Al-Fastat (dem späteren Kairo), der damaligen Hauptstadt eingeladen. Demnach soll sie dort im Schaban 61 n.d.H. angekommen sein und dort fast ein Jahr später gestorben sein. Ihr dortiges Mausoleum liegt an einem Platz mit der Bezeichnung \"Al-Hamra as-Quswa\", wobei der Stadtteil nach ihr benannt wurde. Das Mausoleum wurde durch die Osmanen 951 n.d.H. (1547 n.Chr.) restauriert und erweitert.In der dritten Version reiste sie später zusammen zu ihrem Ehemann Abdullah ibn Dschafar zu dessen Ländereien in Schaam und starb während der Reise. Selbst diese Version erscheint aber als Vertuschung der Tatsache, dass sie wohl auch in Medina erneut gefangen genommen und nach Damaskus verschleppt wurde, wobei sie starb. Letzte Version gilt als die glaubwürdigste, wobei nicht ausgeschlossen ist, dass sie vorher auch in Ägypten war.
Auch über das Datum ihres Ableben gibt es verschiedene Überlieferungen. Am häufigsten wird genannt 15. Radschab. 62 n.d.H. (manchmal wird auch der 16. Dhul-Hidscha genannt), so dass sie mit 56 Jahren starb. Wie geschildert, gibt es gleich zwei Mausoleen, die beanspruchen, das Mausoleum Zaynabs zu seine, eines in Damaskus und eines in Ägypten, aber Schiiten glauben, dass sie in Damaskus begraben wurde.
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Zaynab (a.) (bzw. Zainab) war die Tochter von Imam Ali (a.) und Fatima (a.) und die Schwester von Imam Hasan (a.) und Imam Husain (a.). Sie war die bedeutsame Heldin von Aschura.
Die Angaben über ihr Geburtsdatum schwanken, aber am häufigsten wird der 5. Dschumada al-Ula 6 n.d.H. (zuweilen 1. Schawwal) genannt. Ihr Geburtstag wird in der Islamischen Republik Iran als Tag der Krankenschwester begangen.
Zur Bedeutung des Namens \"Zaynab\" siehe Name Zaynab.
Der Grundstein ihrer Erziehung wurde vom Propheten Muhammad (s.) selbst und von ihrer Mutter Fatima (a.) gelegt. Auch ihr Vater Imam Ali (a.) hat später besondere Sorgfalt bei ihrer Erziehung aufgewendet, so dass sie zur Zeit seines Kalifats in Medina und Kufa wie auch lange über sein Ableben hinaus als bekannte Lehrerin wirkte, die nicht nur in der Auslegung des Heiligen Qur\'an und der Überlieferungen versiert war, sondern auch in Rechtsfragen als Autorität anerkannt wurde; in diesem Zusammenhang wurde sie auch als \"Stellvertreterin des Imam\" bezeichnet.
Besonders eng verbunden fühlte sich Zaynab (a.) nach dem Ableben ihres Bruders Imam Hasan (a.) mit ihrem Imam Husain (a.). Nach Rücksprache mit ihrem Ehemann Abdullah ibn Dschafar verließ sie ihre Familie und begleitete Imam Husain (a.) auf der Reise, die mit der Tragödie von Kerbela enden sollte. Sie musste erleben, wie Imam Husain (a.) und seine Begleiter von den Truppen des Kalifen der Umayyaden namens Yazid ibn Muawiya, vom Trinkwasser abgeschnitten und schließlich überfallen wurden, wobei die Angreifer am Tag von Aschura besonders brutal vorgingen. Imam Husains (a.) älterer Sohn Imam Zain-ul-Abidien (a.) überlebte das Gemetzel, weil er zu dieser Zeit krank war. Zaynab (a.) selbst verlor ihren Sohn Aun und Muhammad, den Sohn ihres Mannes. Sie hatte drei weitere Kinder: Ali, Umm Kulthum und Abbas.
Zaynab (a.) und die anderen Überlebenden wurden als Gefangene zunächst dem Gouverneur von Kufa Ibn Ziad vorgeführt. Dort hielt sie eine bis heute überlieferte Rede, in der sie ihm sein Verhalten vorwarf, und sie rettete durch ihre Intervention Imam Zain-ul-Abidien (a.) das Leben (siehe Rede Zaynabs (a.) in Kufa). Die Gefangenen wurden schließlich unter menschenunwürdigen Bedingungen nach Damaskus gebracht, wo Imam Husains (a.) Tochter Sukaina entkräftet im Gefängnis in den Armen ihrer Tante Zaynab (a.) starb. Noch einmal gelang Zaynab die Intervention, als Yazid den Kopf von Imam Zain-ul-Abidien (a.) forderte. In einer weiteren Rede vor dem Herrscher selbst stellte sie den wahren Sachverhalt dar und hielt ihm sein Unrecht vor, so dass Yazid schließlich durch den Druck der öffentlichen Meinung gezwungen war, die Gefangenen freizulassen und ihnen die Rückkehr nach Medina zu ermöglichen. Die Rede Zaynabs (a.) soll unmittelbar hinter der heutigen der Kanzel [minbar], an der Stelle, an der heute die Umayyaden-Moschee steht, erfolgt sein, wo zu ihren ehren Trauergesänge veranstaltet werden (siehe Bild).
Zaynab durfte unter dem Schutz von Numan ibn Baschir zurück nach Medina reisen, der ihr während der Reise allen Respekt gewährte. Es heißt, dass ein Umweg über Kerbela gewählt wurde, wo Imam Zain-ul-Abidin (a.) den Kopf Imam Husains (a.) mit zum Körper bestattete. Danach verliert sich die Spur Zaynabs in der Geschichte, so dass es drei Versionen für die verbleibende Lebenszeit von über einem Jahr gibt:
In der ersten Version verbleibt sie in Medina und stirbt auch dort, wobei unklar bleibt, wie ihr Leichnam dann nach Damaskus kam. In der zweiten Version ist Zaynab in Kairo begraben. Denn demnach wird sie vom Gouverneur von Medina unmittelbar nach ihrer Ankunft verbannt und vom Gouverneur von Ägypten Muslim ibn Machlid al-Ansari nach Al-Fastat (dem späteren Kairo), der damaligen Hauptstadt eingeladen. Demnach soll sie dort im Schaban 61 n.d.H. angekommen sein und dort fast ein Jahr später gestorben sein. Ihr dortiges Mausoleum liegt an einem Platz mit der Bezeichnung \"Al-Hamra as-Quswa\", wobei der Stadtteil nach ihr benannt wurde. Das Mausoleum wurde durch die Osmanen 951 n.d.H. (1547 n.Chr.) restauriert und erweitert.In der dritten Version reiste sie später zusammen zu ihrem Ehemann Abdullah ibn Dschafar zu dessen Ländereien in Schaam und starb während der Reise. Selbst diese Version erscheint aber als Vertuschung der Tatsache, dass sie wohl auch in Medina erneut gefangen genommen und nach Damaskus verschleppt wurde, wobei sie starb. Letzte Version gilt als die glaubwürdigste, wobei nicht ausgeschlossen ist, dass sie vorher auch in Ägypten war.
Auch über das Datum ihres Ableben gibt es verschiedene Überlieferungen. Am häufigsten wird genannt 15. Radschab. 62 n.d.H. (manchmal wird auch der 16. Dhul-Hidscha genannt), so dass sie mit 56 Jahren starb. Wie geschildert, gibt es gleich zwei Mausoleen, die beanspruchen, das Mausoleum Zaynabs zu seine, eines in Damaskus und eines in Ägypten, aber Schiiten glauben, dass sie in Damaskus begraben wurde.